À quarante ans, Colline Fordinois a perdu la vue et trouvé l’écriture, un mal pour un bien en somme ! En parcourant les pages du roman qu’elle vous propose, vous ferez connaissance, entre autres, avec le personnage de Lucie qui lui ressemble trait pour trait.
Colline a exercé la profession de kinésithérapeute libérale jusqu’à la retraite. Son premier roman publié, « Parle que je te voie », relate ses souvenirs professionnels avec beaucoup de dérision. C’est d’ailleurs ce même humour qui transparaît dans « Les gommiers blancs ».