Description
EXTRAIT N°1 :
« Puisque parler c’est se couvrir d’un peu d’espoir
Je veux en tout point en irradier ma mémoire
Il y a dans ce stupide silence qui étouffe mes cris
Cette damnation qui caresse mes larmes meurtries »
EXTRAIT N°2 :
« Libéré des ombres mortifères
D’où renaissent de la poussière
Ceux et celles pour qui, jadis, mourir d’un rien
N’apportait ni larme, ni chagrin »
EXTRAIT N° 3 :
« De toi, c’est moi qui fus impressionné
Et depuis, je n’ai jamais cessé de t’aimer
Tout comme la caresse ébauchée ne fut refusée
À mon cœur effleurant le tien, à jamais unifiés »
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