Description
Pourquoi le service des sports serait-il devenu le service des porcs, expression favorite, employée par une femme, elle-même journaliste du service à France télévisions, au début des années 2000 ?
Ma vérité n’intéresse pas les néoféministes qui ne remettent pas en doute la parole des femmes. Sauf que cette fois, des femmes ont menti pour me nuire.
À moins qu’on soit en présence d’une vilaine machination pour dégager un salarié en âge de prendre sa retraite, symbole d’une vieille génération de journalistes montrés du doigt par la direction et sa présidente dès son arrivée en 2015…
Mon combat pour le respect des femmes au travail, ma présidente, elle, l’a totalement ignoré. Seule la parole de mes accusatrices malveillantes a de l’importance.
Le plus grave dans cette triste affaire qui touche le service des sports dans son ensemble, c’est la volonté de la Direction de ne pas tenir compte de la parole d’hommes blessés, injustement accusés.
Pourquoi la direction a-t-elle refusé de chercher les preuves de nos propos soi-disant sexistes ? Quand, où, et devant qui a-t-on prononcé ces paroles ? Pourquoi la Direction s’est-elle évertuée, à tout prix, à préserver l’identité des témoins ? Pourquoi n’avons-nous pas été confrontés à nos courageuses accusatrices ? Aucune réponse.
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